2020 est aussi une année qui connaît une pandémie de projets dans lesquels PGV est actif :
- opposition à la démolition du chalet de l’Areney à Sorens,
- opposition à la destruction d’une ferme à Bouloz et à son remplacement par deux immeubles locatifs à l’architecture urbaine et massive,
- suivi d’un dossier de construction dans la pente sous le château à Vaulruz,
- suite des recours contre le PAL de la Ville de Bulle, contre la construction de l’Axe 1450 à Châtel, contre le PAD 35 et contre la destruction de deux immeubles classés en zone vieille ville toujours à Châtel.
- Ajoutons une lettre de remarques sur les transformations projetées du chalet des Reybes du Mitin et nous en passons…
Les menaces sur le patrimoine s’accumulent : le respect des contraintes légales semble pouvoir être mis à l’écart ; la consultation même des plans dans certains bureaux communaux crispe les préposés ; les projets – parfois de grande ampleur – ne font que peu cas des enjeux patrimoniaux. Par ailleurs, la longueur des procédures – plus de quatre ans pour la densification de la rue de la Sionge à Bulle – la faiblesse des amendes poussent les investisseurs à s’affranchir des contraintes légales. D’où ces innombrables « mises en conformités » qui n’ont bien souvent de « conformes » que le nom.